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Comment moi à 18 ans (1m60/40kg),j’ai passé une torride journée avec Stéphanie, 19 ans, une belle plante d’1m75/85kg, handballeuse dans l’équipe de l’université.
Choisi par une amazone comme binôme d’exposé !
Je ressens cette excitation sexuelle à être soulevé par une femme depuis tout petit. Pour moi, le fait que la femme soit plus grande et plus lourde que moi rajoute à l'excitation. Plus je me sens petit à coté d'elle, plus ça me plaît. J'avais 18 ans à l'époque. J'ai adoré cet âge où les filles sont souvent plus grandes que les garçons, d'autant plus que j'étais plutôt petit pour mon âge. Je devais faire 1m60 pour 40kg. J'étais hyper mince et peu musclé. C'était une chaude journée de Mai. Je devais aller chez une amie pour faire un exposé avec elle et éventuellement nous baigner si le temps accordait puisque ses parents avaient une piscine. J'avais donc pris mon maillot de bain avec moi. Stéphanie était une fille dont le physique me fascinait. Elle avait redoublé et allait sur ses 20 ans. Je pense qu'elle devait faire pas loin d 1m75 et j'appris plus tard qu'elle pesait 85kg, soit plus du double de mon poids ! Elle était très carrée et très musclée car elle jouait dans l'équipe de hand-ball depuis longtemps. Elle avait quelques kg en trop mais qui ne la gênait pas beaucoup quand on voyait avec quelle aisance elle se déplaçait sur le terrain. Elle avait une énorme poitrine de laquelle j'avais souvent du mal à détacher mon regard. Je crois qu'elle s'en rendait compte et que ça l'amusait. Ses jambes étaient hyper musclées. j'adorais voir les muscles de ses mollets et de ses cuisses se gonfler quand elle marchait. Quand elle me demanda de faire l'exposé avec elle, je répondis oui sans hésiter !
Un maillot de bain trop petit !
Nous avions travaillé tout le matin. Nous étions seuls, ses parents travaillant tous les 2. Elle portait une robe très ample qui cachait son corps. J'étais un peu déçu. En ce qui me concerne, je portais un short et un T-shirt assez près du corps, ce qui mettait ma minceur en avant. Je cherchais toutes les occasions de me voir dans le miroir à coté d'elle, si petit et si mince. Nous avions besoin de faire un pause et elle me proposa d'aller se baigner. Elle portait déjà son maillot de bain sur elle et enleva sa robe devant moi. Je ne m'y attendais pas ! Et je fus fasciné par ce spectacle ! Elle portait un maillot de bain 2 pièces blanc qui était un peu petit pour elle ! Probablement qu'elle avait grandi depuis qu'elle l'avait acheté. Ses seins étaient à l'étroit et ne demandaient qu'à sortir. Ses énormes tétons semblaient pouvoir percer le tissus. Elle avait un vrai physique d'amazone, beaucoup moins grasse que je l'imaginais. Ses biceps étaient gros et bien dessinés. Ses épaules étaient larges et musclés. Son ventre était plat et on pouvait distinguer des abdo massifs quand elle bougeait. Ses jambes étaient si musclée et épaisses qu'elles devaient probablement être plus larges que mon petit corps tout entier. J'avais du mal à respirer et Stéphanie s'aperçut de mon étonnement. Elle me regarda avec un petit sourire coquin et me dit : "tu aimes ?" Je répondis : "Oui ! Tu es si musclée ! mais si belle". Elle rit alors. Elle m'invita à passer mon maillot de bain dans la chambre de ses parents. Je me suis déshabillé rapidement. Une fois nu, je me suis regardé dans le miroir, si petit , si mince. J'ai ensuite passé mon maillot, puis je suis retourné voir Stéphanie...
Le défit !
Stéphanie m’attendait. Le mot qui me vint à l’esprit quand je la revis était “massive”. Elle dégageait un sentiment de puissance phénoménale. En m’approchant d’elle, elle me dit :
“Tu es tout mimi dans ton petit slip de bain !”. Je rougis ! “Petit slip de bain”, j’étais gêné et excité à la fois. Une fois près d’elle, elle saisit mon bras à hauteur de mon biceps dans son énorme main droite. Sa grande main faisait largement le tour ! Elle me dit “Qu’est ce que tu es mince !, il faudrait mettre un peu de muscle la dessus mon petit” , je répondis :” lâche moi, tu m’écrases !” Cette jeune brute ne connaissait pas sa f o r c e , ses gros doigts avaient déjà marqué ma peau douce et fine. Je lui dis alors : “Je suis plus fort que tu ne le crois, je parie que je peux te soulever !” . Elle éclata de rire et me dis “Vas y ma puce”. Je savais très bien que je ne pourrais pas la soulever.
Tout ce que j'espérais, c’est qu’elle essaie en retour. Je m’accroupis alors devant elle. J’avais l’impression d’être un moustique qui voulait soulever un éléphant. Je paraissais minuscule, surtout quasiment nu ! J’entourais alors ses jambes de mes petits bras, assez difficilement car elle était vraiment très large ! Je fus pétrifié pas la sensation que j’ai eu au contact des jambes. Elles étaient aussi dures que du béton, que du muscle ! Je bandais alors le peu de muscle que j’avais, mais impossible de la décoller d’un dixième de mm du sol. Je relevais la tête pour la regarder mais son énorme poitrine m’empêchait de voir quoi que ce soir en haut. Je me dit que si son soutien-gorge avait lâché à ce moment là, j’aurais pu mourir étouffé. Elle rit et me dit : “Arrête, je suis trop lourde et tu n’es pas assez fort. Tu vas te faire mal”.
Enfin, elle me souleva
J’étais debout devant elle. Elle me dominait de toute sa hauteur et de toute sa masse, elle la montagne que la petit souris que j’étais n’était pas arrivée à bouger d’un pouce. Elle me dit alors : “Je vais te montrer comment on soulève quelqu’un !”. Elle s’accroupit légèrement, passa son avant bras gauche sous mes fesses, puis se redressa tout en me soulevant. Elle ne semblait faire aucun effort, son visage continuais à arborer un magnifique sourire. Un fois redressé, tout mon poids reposait sur son avant bras. Mon entre-jambe se trouvait à hauteur de son énorme sein gauche contre lequel elle me plaquait. Je notais alors que ma taille était plus fine que ce dernier ! Elle marcha alors doucement vers le miroir. Je me regardais alors avec étonnement dans les bras ce cette géante. ce qui me sauta d’abord aux yeux, c’est que ses bras étaient plus gros que mes cuisses ! Mon sexe était au comble de l’érection, mais elle ne pouvait pas le voir vu que tout mon bassin était plaqué contre sa poitrine. Elle me dit alors doucement avec un sourire coquin et dominateur : “Voilà comment on soulève un petit homme”. J’étais incapable de parler, tellement mon poids pour elle n’était rien. Elle me porta alors jusqu’à la piscine. Je posais mes petites mains sur ses énormes épaules pendant le trajet.
Mais tu bandes !
Une fois arrivé devant la piscine, elle entreprit de me poser par terre. Elle mit pour cela son énorme paluche droite, sous mon aisselle droite, et m’éloigna ainsi de se corps. Et là, alors que mon entre jambe n’était plus caché sous sa poitrine, elle s'aperçût que je bandais comme un fou ! En effet,mon sexe, qui était proportionnel à ma taille, tendait le tissus de mon maillot. Elle s'exclama alors : “Mais tu bandes petit cochon ! c’est que je te soulève et que je te porte qui t’excite comme ça !!”. Je lui répondis timidement...”oui”. Elle sourit, et telle un balle de Hand, elle me jeta dans la piscine avec tellement de f o r c e que j’ai cru que j’allais atterrir sur le carrelage de l’autre coté !! Je tombais alors lourdement dans l’eau, depuis les 3 m de hauteur à laquelle elle m’avait projeté
Comme un jouet dans son bain !
Je refis surface juste pour la voir plonger. Elle le fit très gracieusement. Je n’en revenais pas de la facilité avec laquelle elle bougeait ses 85 kg. Je n’en revenais pas non plus de la facilité avec laquelle elle m’avait soulevé et jeté dans l’eau. Mais pour l’instant, je ne savais pas trop comment réagir car elle venait de se rendre compte que mon petit sexe était tout dur, tellement que le fait qu’elle me soulève m’avait excité. Elle s’approcha de moi en nageant et se mis en position verticale pour me faire face. Une fois en face de moi, elle posa ses deux grosses mains sous mes aisselles et me souleva à bout de bras hors de l’eau, comme si je ne pesais rien ! Quand mon bassin sortit hors de l’eau , elle s'aperçut que mon sexe était toujours en érection, et elle me dit : “Décidément, tu adores ça mon petit” . J’étais au bout des bras de cette jeune géante qui me manipulait comme une poupée. Elle me ramena alors contre elle, plaçât sa main droite sous mes petites fesses si bien que tout mon poids reposait dans celle-ci. Elle se dirigea alors vers les escaliers où elle me sortit de l’eau. Elle me dit alors: “A la douche mon petit cul !”, je frémis à l’idée de ce qui pourrait se passer...
Une toilette très osée
Arrivés à la salle de bain, elle me posa sur un marche pied, si bien que mes yeux étaient à la hauteurs des siens. Elle me dit : “Tu es si mignon, j’adore te porter. Tu es si léger, ma petite cousine de 8 ans est plus lourde que toi ! Et puis ça l’air de vraiment t’exciter mon petit cochon...”. Elle fixait alors mon maillot de bain tendu par mon sexe. Elle plaçât alors ses grosses mains autour de ma taille de guêpe. Elle pouvait faire le tour facilement ! Je n’en revenais pas ! Elle en fut surprise également et me dit :”Mais comme tu es mince !”. Ses mains glissèrent alors sur mes hanches en passant sous mon maillot de bain. D’un geste rapide et puissant, elle écarta ses bras et déchira mon slip de bain dont les débris tombèrent à mes pieds sans que je n’ai eu le temps de faire quoi que ce soit. Ma première réaction fut de tenter de cacher mon sexe avec mes mains, mais l’ayant anticipé, elle saisit mes poignets tous fins dans ses grandes mains. Mes avant bras disparaissaient presque totalement dans ses grandes paluches. J’avais commencé ma puberté et petite touffe de poiles surmontait mon sexe. Elle me dit : “Mais tu commences à devenir un homme !”
Les choses sérieuses commencent !
Je me sentais tellement petit, tellement faible , nu devant cette amazone pour laquelle j’étais un poids si léger. Elle était si forte ! Elle remonta alors mes mains au dessus de ma tête pour pouvoir maintenir mes deux poignets dans son énorme main gauche. Elle me tirait en haut si bien que j’étais obligé de me mettre sur mes pointes de pieds. Elle commenta alors en disant : “tu ferais une une belle petite danseuse étoile”. J’étais rouge de honte. Sa main droite était libre pour faire ce qu’elle voulait de moi. Elle caressa le coté gauche de mon corps, en descendant jusqu’à mes fesses. Ses doigts s’attardèrent alors dans ma raie et titillèrent mon anus. Je n’avais jamais senti cela avant, c’était excitant et terrifiant à la fois, comme si cette caresse avait éveillé chez moi ma part de féminité. Sa main se dirigea alors vers mon petit pénis tendu par l’excitation. Elle voulu me masturber en enserrant mon sexe dans sa main immense, mais mon zizi était bien trop petit ! Elle utilisa donc seulement le bout de son pouce et de son index. Je sentais en moi des ondes de plaisirs émerger. 30 secondes plus tard je jouissais sur elle, tachant son maillot de bain. Pendu par une de ses mains, mon corps ondulait sous l’effet du plaisir.
Elle lâcha mes poignets et je retombais alors sur mes pieds. Je secouai mes petits bras que la position imposée par cette brute avaient rendu douloureux. Stéphanie passa sa main sur son corps pour récolter mon sperme et quand elle en eut assez, elle le lécha goulûment ! Elle adorait ça et c'eût pour effet d’augmenter son excitation. Elle se délectait réellement de ma semence. Elle en voulait encore plus. Elle passa son bras gauche derrière mon dos et faucha mes jambes de son bras droit si bien que je me retrouvais assez confortablement installé, porté par ses gros bras. Elle leva et fléchît ses bras pour amener mon sexe à sa bouche dans laquelle elle engloutit tout mon entrejambe, pénis et testicules. Elle aspirait si fort que j’ai cru que j’allais finir émasculé. Je craignais aussi qu’un coup de dents ne produisent le même effet. Sa langue massait mes parties et mon sexe se remis tout de suite érection ! Quelques minutes plus tard je jouissais à nouveau dans sa bouche et cette nouvelle rasade de sperme provoqua une vague supplémentaire d’excitation chez Stéphanie. Elle lécha scrupuleusement tout mon sperme et me porta alors jusqu’à la douche...
La douche
Un fois arrivé, elle me posa par terre. Mes jambes tremblaient. La douche était vaste et on tenait à deux sans problème. Passant ses mains derrières son dos, elle dégrafa son soutien gorges qui tomba à ses pieds. Quel spectacle ! Ses seins d’a d o l e s c e n t es ne semblaient pas être affectés par la gravité. Ces énormes melons pointaient torridement vers moi et gigotaient de gauche à droite sur les mouvements de Stéphanie. Je ne pouvais détacher mon regard de ces masses. Ils étaient bien plus gros que ma tête ! Voyant mon admiration, Stéphanie passa sa grande main derrière ma nuque et me plaqua la tête sur sa poitrine. Je n’avais pas eu le temps de respirer et je manquais cruellement d’air. Je battis des mains pour le lui faire comprendre et elle me relâcha. Je pris alors un bonne inspiration pour retrouver mon souffle.
Elle aurait pu me tuer sans que je ne puisse faire quoique ce soit. Elle enleva le bas de son maillot pour exposer un pubis très fourni. Elle avait plus de poils que moi ! Elle passa alors un gant de toilette sur sa main droite, ouvris les robinets de la douche et dans un geste rapide, elle me saisit avec son bras gauche de manière à ce que je me retrouve le ventre sur son avant bras, avec tout mon corps sous son aisselle. j’étais tourné de telle manière que j’avais une vue imprenable sur ces énormes et puissantes fesses. Elle passa le gant sur moi, puis d’un geste souple, jeta le gant au sol. C’est alors que son énorme index pénétra mon anus sans que je m’y attende ! Quelle surprise et quelle douleur ! Son énorme doigt allait et venait au plus profond de moi. Je gesticulais mais son étreinte était bien trop forte pour que je puisse en échapper. A ma grande surprise, je commençais à prendre du plaisir. Mon sexe était à nouveau dressé et à nouveau je jouis comme jamais ça ne m’était arrivé. Stéphanie me laissa alors tomber et j'atterris à quatre pattes par terre.
Elle dit alors:”Satisfaite petite chienne ?!”. Je me rendis alors compte de la position dans laquelle j’étais : à quatre patte devant elle,lui présentant mon anus dilaté par son gros doigt. Oui, j’étais une chienne. Elle rajouta :”Tu encaisses pas mal,elles vont bien s’amuser avec toi ce soir”. Mais de qui parlait elle ! Elle dit alors: “A moi de prendre du plaisir maintenant”. Je pensais que j’allais enfin avoir ma place d’homme et que l’on allait faire l’amour plus classiquement, mais elle saisit ma tête dans la palme de sa main droite. Elle avait un poigne phénoménal. Mon petit crâne tenait sans problème dans sa grande main. Elle serrait si fort que j’ai cru qu’il allait exploser. Me f o r ç a nt à me mettre à genoux, elle plaqua ma bouche contre son sexe et m’ordonna de la lécher. Je m’appliquait de mon mieux et ma langue trouva bientôt son gros clitoris que je stimulais sur ses conseils. Elle me plaquait si fort que j’avais du mal à respirer.
Quand elle atteint l’orgasme, elle ne contrôla plus sa f o r c e et oublia de me relâcher pour respirer. A bout de souffle et épuisé, je m’évanouis. Je m’étalais alors sur le carrelage de la douche. Dans une semi-conscience, je vis Stéphanie fermer le robinet puis se baisser pour passer une main derrière mon dos et l’autre sous mes genoux. Elle souleva délicatement mon corps inanimé pour le poser sur ce qui ressemblait à une table à langer. Là, elle me sécha dans une serviette. Je sentais ses grandes mains pétrir mon petit corps. Elle m'enveloppa enfin dans une grande serviette. Seule ma tête en sortait et je ne pouvais bouger ni mes bras ni mes jambes. En enserrant ma taille de guêpe de ses battoirs, elle me souleva puis me plaqua contre sa poitrine. Elle fit alors glisser une de ses mains sous mes fesses, puis l’autre derrière mon dos, me portant ainsi contre sa musculeuse épaule. Elle m’emmena dans la chambre de ses parents où elle me posa sur le lit. Toujours dans une mi-conscience et emprisonné dans ma serviette, elle m’embrassa sur le front et je sombrai dans un sommeil profond, tellement les derniers évènements m’avaient épuisé.
Une bonne fessée pour me faire obéir
Je me réveillais une heure plus tard. Je ne savais plus trop où j’étais. Je ne savais pas non plus si les scènes de sexe qui venaient à mon esprit étaient des rêves. Un douleur diffuse à l’anus me rappela que tout était vrai. Je cherchais à m’extraire de cette serviette mais elle était tellement serrée que je n’y arrivais pas. Stéphanie m’ayant entendu bouger arriva dans la chambre. Elle était habillée d’un bas de treillis noir qui mettait ses fesses larges et puissantes en valeur. Elle portait un débardeur prêt du corps qui sublimait sa poitrine et ses épaules larges et musclées. Ses bras puissants étaient également mis à l’honneur. Elle me dit : ”Tu es réveillé mon petit, c’est bien, je vais pouvoir te préparer pour ce soir....” Je savais qu’elle voulait faire quelque-chose de moi, mais je ne savais pas quoi encore.
Elle me déplia de la serviette de manière à ce que je me retrouve sur le ventre et dos à elle. Passant ses mains aux niveaux de mes aines, elle me souleva de manière à ce que mes jambes soient écartées et qu’elle puisse examiner mon anus. Je me retrouvais donc à nouveau soulevé par cette géante la tête en bas et totalement nu sans que je ne puisse faire quoique ce soit. Stéphanie s’exclama : “C’est bon, il a bien retrouvé sa forme, on va pouvoir s’en occuper à nouveau ce soir !” Mais de quoi parlait elle bon s a n g ! Elle continua :” Il va falloir que je t’habille maintenant”. Elle me jeta alors face sur le lit. Elle sortit de la chambre et revint avec des vêtements pliés. Elle m’ordonna :”Mets toi debout sur lit”. Ce que je fis. Je constatai avec horreur que c’était des vêtements de femme, et des vêtements sexy !
Elle pris d’abord la petit culotte noire que seules des strip-teaseuses devaient porter. Elle était minuscule ! Déjà parce que Stéphanie l’avait choisie à la bonne taille pour mes petites fesses, et aussi parce ce petit bout de tissus semblait minuscule dans ses mains de géantes. Elle l’a tenait tendue pour que je puisse passer mes jambes dedans. C’était trop pour moi. Je me mis en colère :”Non, là ça va trop loin ! Tu m’as pris par surprise sous la douche, mais là non, je refuse !” Je descendis du lit pour me diriger vers mes vêtements que j’avais rangés dans un coin. Stéphanie ne me laissa pas faire. Elle saisit v i o l emment mon poignet droit dans sa main gauche, et levant son gros bras, elle me f o r ç a à me mettre sur la pointe des pieds ! J’ai cru que ma main et mon avant bras allait être broyés tellement elle était forte ! J’avais l’impression d’être un ver qui se balançait au bout d’un hameçon.
C’est alors que son immense et lourde main droite se leva et s'abattit durement sur mon petit fessier. Elle était entrain de me donner une fessée sans que je ne puisse faire quoique ce soit ! Au deuxième coup, les larmes me vinrent aux yeux, autant par douleur que par humiliation. Malgré mes supplications, elle frappa 10 ou 15 fois, je n’étais plus en état de compter de toutes façons. Elle n'entraîna alors toujours en tenant mon poignet haut en l’air devant le miroir. Je vis alors un pantin désarticulé toute petit, tout mince et nu, qu’une jeune géante tenait en l’air à la f o r c e d’un seul bras ! Me faisant légèrement pivoter, elle m’ordonna de regarder l’état de mes fesses : Elles étaient rouges cramoisies ! Ses larges mains avaient laissé des traces sur toutes leurs surfaces ainsi que sur le haut de mes cuisses et le bas de mon dos. Stéphanie me cria en pleine face :”Quand on pèse 40kg, que l’on est maigre comme un clou et que l’on n’a pas de f o r c e , on ne s’oppose pas à la volonté d’une fille qui fait plus du double de son poids et qui est tout en muscle !” Sur ce, elle lâcha mon poignet et me laissa m’écraser comme un poupée de chiffon sur le sol.
Mes jambes n’étaient plus capables de me porter. Stéphanie me dominait de toute sa hauteur, j’avais l’impression qu’elle avait encore grandi. Je restais là à s a n g loter, nu et faible à ses pieds. Son visage se fit alors plus souriant. Elle se baissa, saisit le haut de mes bras dans ses mains, et me souleva ainsi pour m’amener contre sa poitrine. Une fois contre elle, elle fit glisser sa main droite sous mes petites fesses encore endolories et l’autre dans mon dos. Mes mains vinrent machinalement se placer autour de son coup de taureau. Son téton se trouvait juste contre mon petit sexe. Je sentais à la fois la douceur de son énorme sein contre mon buste et la dureté de son corps puissamment musclé. Elle me berçait pour me consoler. Quelque chose lâcha prise en moi, résigné face à tant de f o r c e et de puissance, je crois que j’ai abandonné à ce moment là une partie de ma virilité pour laisser s’épanouir ma part de féminité. Elle me dit alors: “Tu vois ma puce, tu ne peux rien contre moi. Fais ce que je demande, tu n’as pas le choix”. Je soupirai alors sur son épaule. Elle se dirigea alors vers le lit pour m’y poser debout.
Habillé et maquillé de f o r c e comme une traînée
Saisissant à nouveau la petite culotte noire, elle m’ordonna de l’enfiler, ce que je fis. Elle m’allait très bien. Mon petit sexe tenait à l’intérieur. Stéphanie ne s’était pas trompé en choisissant une taille 34. Elle saisit alors un des bas résilles noires. Je passais ma jambe droite à l’intérieur m’appuyant sur ses épaules de mes petites mains pour ne pas perdre l’équilibre. Elle remonta délicatement le bas qui m’arriva juste quelques centimètres sous mes fesses, de même avec l’autre. Elle avait choisi une brassière en dentelle noire pour cacher ma poitrine, qu’elle me posa elle même.
Vint ensuite le porte jarretelle noire. Elle me mis alors une mini-jupe faite d’ un tissus blanc hyper transparent qui semblait être du lin. On pouvait voir ma culotte à travers ! Vint ensuite un cache coeur fait du même tissus. Mon nombril était visible. Elle se recula pour voir le résultat et sembla satisfaite: “Tu commences à être vraiment bandante petite traînée”. Elle me saisit alors par ma taille de guêpe et me souleva face à elle. Elle me porta jusqu’à une chaise où elle s’assit tout en me tenant à bout de bras. Elle me fit m'asseoir sur ses genoux. Mes fines jambes gainées de résilles pendaient de part et d’autre de ses grosses et dures cuisses. Comme elles étaient vraiment très large, j’étais obligé de beaucoup écarter les jambes. Stéphanie s’empara d’un nécessaire à maquillage sur la table à coté. Ne me voyant pas, je la laissait peindre mon visage : Fond de teint, rouge à lèvre, mascara et même gloss. Elle sortit ensuite une perruque brune aux cheveux longs et lisses qui m’arrivaient à mi dos.
Elle les attacha avec un élastique pour me faire un queue de cheval, prétextant que ça mettait en valeur mon coup mince et ma nuque fine. Elle acheva son oeuvre en me clipsant deux petites boucles d’oreilles en forme de coeur rouge, et un collier en perles roses fluo. Elle me saisit alors sous les aisselles et me porta jusque devant le miroir, dos à celui-ci. Une fois posé au sol, elle mit ses grosses mains sur mes frêles épaules pour me f o r c e r à me tourner et voir mon image... et ce fut un choc ! Je voyais une très jolie petite brune habillée comme une tapineuse. Les bas résilles affinaient d’autant plus mes jambes. Le jeu de transparence me rendait extrêmement sexy ! Mon nombril et le porte jarretelle exposés étaient un véritable appel au v i o l et cette queue de cheval mettait vraiment en valeur la finesse de mes épaules et de mon coup.
J’étais troublé et à ma grande surprise terriblement excité. Stéphanie sortit d’un placard une paire de ballerine rose taille 36 qui convenait parfaitement à mes petits pieds. Je ressemblais définitivement à une entraîneuses et même pire. Stéphanie, posant ses mains de part et d’autre de mes épaules et me serrant ainsi me dit : “Tu as vraiment l’air d’une belle petite pute, si je t‘emmenais dans un resto pour routiers, tu pourrais me rapporter pas mal d’argent”. J’étais terrifié, mais aussi terriblement émoustillé par cette idée d’être un jouet sexuel pour tous ces mâles en manque de leur femme. Stéphanie rajouta :”Tu vas beaucoup leur plaire. Elles adorent les demi-portions comme toi”. La sonnette de la porte sonna alors. Stéphanie avec beaucoup d’excitation dans le regard me lança : “Elles sont là !”
Deux brutes féminines de plus !
Grisée par cette sonnerie, Stéphanie me saisit sous les aisselles pour m'asseoir sur sa anche gauche. Une fois en position, sa main gauche vint sous mes petites fesses et je mis mes bras autour de son coup musculeux. Dans cette position , ma jupette était tellement relevée que l’on pouvait voir le haut de mes bas et les attaches de mon porte jarretelle ! Stéphanie marcha alors à grand pas jusqu’à la porte d’entrée, comme si elle portait une fillette de 6 ans. Terrifié à l’idée que d’autres personnes me voient dans cette tenue, je suppliais Stéphanie d’un “Non ! s‘il te plait”. Elle me regarda en souriant ironiquement sachant très bien que la douleur encore présente sur mon petit séant m’empêcherait d’insister. Je me contentai d’enfouir ma tête contre son coup.
Une fois arrivé devant la porte, elle me réinstalla sur sa anche d’une puissante impulsion de sa main, puis ouvrit la porte de sa main droite. J’imaginais le spectacle qui allait s’offrir aux visiteurs : “Une belle amazone, grande et musclée qui portait comme une fillette un ado pusillanime habillé comme une prostitué. J’avais encore la tête dans le coup de Stéphanie pour que l’on ne puisse pas voir mon visage. J’entendis alors 2 voix féminines et Stéphanie me dit :”Regarde qui est là !”. Extrêmement gêné, je sortis la tête de ma cachette. Je vis alors deux autres brutes de l’équipe de hand me sourirent, Catherine et Ingrid. Catherine était légèrement plus petite que Stéphanie mais par contre avait un carrure impressionnante que beaucoup d’homme lui enviait. Elle pesait pas loin de 100kg et avait des membres très massifs.
Sa tête était énorme avec de bonnes joues. Son corps n’était pas très bien dessiné, elle ressemblait plutôt à une boule de muscle. Elle jouait en défense et la légende disait qu’elle avait envoyé un type à l'hôpital sans le faire exprès lors d’un match mixte. Ingrid était une immense blonde. Elle faisait 1m85 et 95kg. Elle avait des bottines avec des talons de 7cm qui la faisait culminer à 1m92. Même Stéphanie paraissait petit à coté d’elle ! Elle portait une mini jupe et un débardeur qui laissait voir un corps musculeux et bien dessiné. Ses cuisses étaient impressionnantes ! Ses bras devaient être aussi gros et musclés que ceux de Stéphanie même si sa taille lui donnait un aspect plus longiligne. Ses mains ressemblaient à des pelles et étaient immenses même pour sa taille.
Elle jouait en attaque et je me souviens de comment la balle paraissait petite dans sa main. Elle terrifiait les gardiens et gardiennes. Avec ses longs bras, elle pouvait propulser la balle à une vitesse telle que plus d’une fois les filets des cages ont été déchirés ou que les balles ont explosé contre les poteaux ! Je fus bien sûr la première chose sur laquelle leurs regards de focalisèrent. Elles ne furent même pas surprises de trouver Stéphanie avec dans ses gros bras, un petit homme habillé en femme. Je compris même par leurs commentaires qu’elles se livraient régulièrement à ce genre de comédie: “Mais qu’il est mignon, tu en as enfin trouvé un qui soit hyper sexy en femme ! Et en plus il a l’air tout mince et tout léger”. Ce à quoi Stéphanie répondit: “Tout à fait, c’est à peine si je sens son poids, et puis je n’ai pas eu à faire beaucoup d’effort pour en faire une belle petite pute. Il est si fin par nature que quelques traces de maquillage lui donne tout de suite l’air d’une chienne en chaleur”.
Sur ses mots, elles se mirent toutes à rire. Je me sentais si honteux, mais si heureux et excité d’être traité de cette manière, à la merci de ces trois brutes féminines qui avaient plus de f o r c e dans un seul leur bras que moi dans tout mon corps. Stéphanie relevant ma mini-jupe pour exposer mes petites fesses rajouta :”Et regardez moi ce petit cul ! Vous ne trouvez pas que cette culotte lui va à ravir ? C’est une taille 34 et ça lui va parfaitement”. Catherine bavant presque d’envie s’exclama :” Il est vraiment minuscule, j’adore ça. Je vais prendre un grand plaisir à jouer avec ce petit bijou !”. Catherine me faisait peur, et je serrais un peu plus Stéphanie contre moi de peur qu’elle ne me laisse à la merci de cette fille dont se dégageait tant de f o r c e et de b e s t i a l i t é . Ingrid dit alors : “J’ai envie d’y goûter...”.
Elle saisit alors l’arrière de mon crâne dans son immense main gauche. Sa main était si large que son index et son pouce touchaient mes deux tempes à la fois. Elle se pencha alors sur moi pour m’embrasser. Une pression de sa main me fit comprendre qu’il valait mieux que j’ouvre la bouche et que je me laisse faire si je ne voulais pas que mon crâne n’explose dans ses doigts. Elle plaqua sa bouche sur la mienne et une langue puissante me pénétra avec f o r c e . Elle allait et venait dans ma cavité buccale avec vitesse et f o r c e . Elle se retira en aspirant v i o l emment. J’étais à bout de souffle. Ingrid relevant la tête et me surplombant de toute sa hauteur lança. “Il a vraiment un goût de fille”.
Elles rirent toutes à nouveau. Stéphanie me posa alors par terre. Je pris alors un peu plus conscience de la taille de ces brutes. Catherine me paraissait beaucoup plus grande maintenant, et ses épaules étaient tellement larges que j’aurais pu m’asseoir sur l’une d’elle sans que mes fesses ne dépassent. Ingrid était tout aussi impressionnante. Les pieds au sol, j’étais nez à nez avec sa poitrine. Elle n’était pas aussi grosse que celle de Stéphanie mais avait une taille très respectable quand même. Surplombant des muscles pectoraux hyper développés, elle pointait fièrement vers le ciel. Je relevais alors mon visage vers celui d’Ingrid, et s’étant aperçu que je fixais sa poitrine, elle me dit :”Et oui, avec ça je peux pousser 130kg au développé-couché !” 130 kg ! C’était plus de 3 fois mon poids ! Stéphanie prit alors la parole et parlant à ses amies :”Allez m’attendre dans le salon, je l’emmène dans la cuisine pour qu’il nous fasse à manger et après je vous rejoins”.
Elle saisit alors ma main droite dans sa main gauche et me tira vers la cuisine en marchant à si vive allure que je fus obliger de courir pour ne pas tomber. Une fois sur place, elle me montra où et avec quoi je pouvais faire des pâtes. Voilà que je me transformais en bonne à tout faire pour 3 amazones ! Je n’avais pas le choix de toutes façons, mes petites fesses encore rouges me le rappelaient. Stéphanie me faisant face, elle posa sa large main droite sur ma gorge et enserra mon coup fin et délicat dans sa grande main. Machinalement, mes mains vinrent se poser sur son poignet, comme si j’allais pouvoir l’empêcher de faire ce qu’elle voulait de moi. Mes mains étaient bien trop petites pour enserrer ses poignets alors que la sienne faisait presque le tour de mon coup.
Levant légèrement son bras pour me f o r c e r à me mettre sur la pointe des pieds, elle plongea son regard dans le mien et dit :”Tu es trop sexy mon petit cul, on va bien s’amuser avec toi. Prépare nous un bon plat de pâtes. Nos muscles ont besoin d’énergie. Amène le nous dès que c’est prêt ma puce”. Elle se dirigea ensuite vers le placard à l’alcool et sortit une bouteille de whisky à peine entamée. J’avais commencé à préparer le repas et Stéphanie me mit une bonne claque sur les fesses avant de partir. Je faillis perdre l’équilibre et tombé si je n’avais pas fait face à la table et mis mes deux mains dessus. Stéphanie saisit alors ma taille derrière moi et colla v i o l emment son pubis contre mes fesses en me disant :”C’est juste un avant goût de ce qui va t’arriver”. Je frémis à la fois de peur et de désir. Stéphanie me lâcha et alla rejoindre ses amies dans le salon.
Le repas des amazones
Je n’avais pas lésiné sur les quantités. Je m’imaginais bien que ces trois brutes devaient manger comme des ogres. Je mis les pâtes dans un grand plat et me dirigeai vers le salon avec. Les filles étaient assises dans les canapés. A bout de f o r c e s, je posais le lourd plat sur la table. Affamées, elles se levèrent instantanément. Je m'aperçus avec terreur que la bouteille était vide et que l’alcool les avaient rendues encore plus excitées ! Catherine me pris à bras le corps d’un seul bras, me souleva pour mettre ma bouche au niveau de la sienne et m’embrassa avec f o r c e . Elle me serrait si fort que j’ai cru que ma colonne vertébrale allait craquer. Son haleine sentait le whisky et elle sentait très fort la sueur. J’étais sur le point de vomir quand elle libéra ma bouche. Tournant la tête, je me vis alors dans le miroir, toujours habillé comme une pute, dans les bras de cette brute dont les bras étaient bien plus gros que mes jambes. Elle me lâcha et me laissa tomber au sol sur lequel je me mis à genoux pour reprendre mes esprits. Stéphanie me dit alors :”Lève toi et va chercher des couverts et du beurre, je t’ai dit que l’on avait besoin d’énergie petite trainée !” .
Je m'exécutai donc. J’installai les 4 couverts sur les 4 cotés de la table carré. Les filles étaient déjà assises. Ingrid me faisait face , Stéphanie et Catherine étaient à mes cotés. Elles avaient déjà commencé à boire la bouteille que Stéphanie avait ouverte. Je servis de grandes louchées de pâtes. A peine leur assiette servie, les 3 colosses se mirent à dévorer. Ingrid releva la tête et me regarda. De sa grosse bouche huileuse à laquelle quelques pâtes étaient encore collées, elle me dit :”Bois un coup, ça va te détendre, et il vaut mieux pour toi que tu sois détendu pour la fin de soirée si tu ne veux pas avoir trop mal :”. Elles éclatèrent toutes de rire. Catherine tira alors ma chaise vers elle et saisit ma tête dans le creux de son coude. J’ai cru qu’elle allait éclater contre le biceps de cette brute. Ainsi maintenu, elle me f o r ç a à boire un verre de vin entier. Elle me relâcha ensuite. Crachant une partie du vin qui avait manqué de m'étouffer en pénétrant dans mes poumons, je repris difficilement mon souffle. Ces trois brutes avaient déjà avalé tout le plat. Stéphanie m’ordonna de ramasser les assiettes et de venir les rejoindre.
L'apothéose de la soirée
A mon retour dans le salon, les filles avaient migré dans les canapés et buvaient une bouteille d’alcool fort au goulot. Le vin commençait à faire effet et je me sentais tout étourdi. J’avais envie de me faire prendre comme une chienne ! Ingrid et Catherine étaient assises cote à cote. Stéphanie m’invita à m’asseoir à ses cotés. Je m’assis au bord du canapé, gardant mes jambes l’une contre l’autre et le dos droit. Mes mains étaient l’une dans l’autre dans mon giron. Je commençais de plus en plus à prendre des postures de femme. Grisé par le vin, j’aimais de plus en plus les regards teintés de désirs B e s t i a l es que m’adressaient mes trois maîtresses. Croisant ma jambe gauche sur ma jambe droite, j’adressais un regard langoureux à Catherine, tout en décroisant mes mains pour remettre en place sensuellement mes bas résilles et en passant ma langue sur mes lèvres brillantes de gloss. La jeune brute se mit quasiment à baver d’envie en passant la main dans son survêtement au niveau de son pubis. Je fus surpris de la bosse qui s’était formé à ce niveau.
Cette fille avait vraiment quelque chose d’étrange... Stéphanie qui était affalée dans le canapé me regardait de derrière. Je sentis sa large main me caresser le dos puis les hanches. Ses deux mains vinrent alors sous mes aisselles pour me tirer et me soulever afin de m’installer sur ses genoux. Je me retrouvais donc dos à elle, à califourchon sur ses larges cuisses, exposant ma culotte à Ingrid et Catherine, mes pieds pendant à 20cm du sol. Posant mes mains sur ses genoux, je cambrai mes anches pour lui offrir mes fesses. Elle saisit ma taille de guêpe dans ses longs doigts et s’exclama une nouvelle fois :”Mais que tu es mince, tu as vraiment une silhouette de salope”. Le vin me tournant de plus en plus la tête, je gémis de plaisir. Stéphanie mis alors ses mains sous mes genoux, et les releva pour écarter mes cuisse et exposer ma culotte encore plus. Je sentais dans mon dos ses tétons dressés d’excitation.
C’est alors que Catherine se leva en hurlant:”Je ne tiens plus, cette petite salope est trop bonne !” Elle quitta alors son bas de survêtement, exposant tout son entre-jambe. Quelle surprise ! Catherine avait un pénis. Elle était hermaphrodite !
En plus il était énorme, très long et très épais, se dressant fièrement vers le ciel. Catherine astiquait son manche avec sa grosse main par de amples mouvements. J’étais tétanisé et envahi pas le désir d’être possédé par cette énorme chibre. Catherine s’approcha, son énorme engin oscillant à chaque pas. Toujours maintenu sous les genoux par Stéphanie, Catherine me saisit la tête de sa grosse main pour que j’avale son sexe. Il était si énorme que ma bouche n’était pas assez grande. Appuyant v i o l emment avec sa main sur ma tête, Catherine finit par faire pénétrer son énorme gland qui vint percuter le fond de ma gorge. Je n’en revenais pas, même dans cette position avec bien 10cm de sexe dans ma bouche, je pouvais encore saisir le chibre de Catherine avec mes deux mains qui étaient bien trop petites pour entourer ce monstre plus gros que mes avant bras.
Saisissant ma tête dans ses énormes battoirs, Catherine fit aller rapidement en arrière et en avant ma tête pour astiquer son vis. A chaque fois que son sexe libérait ma gorge, je respirais autant que possible par le nez. J’étais toutefois au bord de l’évanouissement tant elle me secouait avec f o r c e . Au bout d’interminables minutes, Catherine commença à râler et jouit dans ma bouche, propulsant une quantité phénoménale de sperme dans ma gorge. Ce n’était pas un sexe, c’était une vraie lance à incendie ! Je dus avaler une bonne partie de son nectar et le reste filtra dans le peu d’espace que son large pénis laissait au bord de mes lèvres. Son jus était très fort et me donnait des nausées. D’ailleurs quand elle se retira, je vomis une partie de ce que j’avais avalé. Toujours assis sur les cuisses musclées de Stéphanie et fermement tenu par elle sous les genoux, je tentais de reprendre mes esprits et ma respiration, pendant que Catherine pressait son gros zizi pour en faire sortir tout le jus, tout en me disant :”Tu es vraiment trop bonne, j’ai encore envie de toi, donne moi ton petit cul !”. Je n’en revenais pas, cette brute avait encore de l’énergie et son braquemart présentait toujours une érection triomphante.
Elle saisie alors ma culotte dans sa main droite et arracha le petit morceau de tissus qui n’offrit que peu de résistance à la f o r c e ce cette brute. J’exposais alors totalement mon anus et mon petit pénis qui bandait. Catherine s'esclaffa :”Regardez, son clitoris est tout raide !” . Clitoris ! Cette amazone me prenait vraiment pour une femme. Elle caressa alors mon petit sexe avec le sien. La différence de taille était impressionnante. Le sien paraissait 10 à 20 fois plus gros. Elle entreprit alors de me pénétrer. Posant son gland sur mon anus, elle f o r ç a pour l'insérer, mais ma rondelle était bien trop petite. Catherine pris alors la motte de beurre ramollie qui traînait encore sur la table et me la posa sur le fion pour l’enduire copieusement, ses doigts n’hésitant pas à explorer mon anus. Elle tenta à nouveau de me sodomiser et y réussit enfin. Je sentis à la fois avec douleur et plaisir son monstrueux pénis en moi. Quand elle commença à limer, j’eus l’impression qu’elle allait traverser mon corps. Je la sentais au plus profond de mes entrailles.
Elle dit alors à Stéphanie :” Laisse moi prendre cette petite traînée. Je veux la sentir en entier”. Les mains de Catherine remplacèrent celle de Stéphanie sous mes genoux et les miennes vinrent sur sa nuque musculeuse. Elle me souleva alors tout en me pénétrant, comme si je ne pesais rien. J’étais au comble du plaisir, encourageant Catherine de “Vas y, vas y”, auxquels elle répondait avec “tu aimes ça que je te prenne par derrière petite salope”. Elle me secouait de bas en haut avec un facilité déconcertante, je n’avais aucun effort à faire pour que son chibre coulisse dans mon petit fessier. J’avais l’impression d’être une de ces femmes de poche dont les hommes seuls se servent pour se soulager. A un moment, elle me jeta plus haut pour pouvoir déplacer ses mains directement sous chacune de mes petites fesses.
Une fois retombé, elle les écarta un peu plus pour me pénétrer plus profondément. Je crus que sa tige allait me ressortir par la bouche ! Je gémis de plaisir tout en rejetant ma tête à l’arrière et cambrant mes reins. Catherine me dit alors: ”Tu aimes que je te sodomise profondément petite pute, tu aimes sentir ma grosse bite dans ton petit cul”, ce à quoi je répondis d’un “oui” long et gémissant. Pendant que la brute hermaphrodite continuait à me faire coulisser le long de son manche, Ingrid se leva, bien décidée à en profiter aussi. Elle vint derrière moi et saisit le haut de mes bras à hauteur des biceps dans ses immenses mains. Serrant très fort, elle m’obligea à lâcher le coup de taureau de Catherine. J’étais donc en suspension, porté par les deux amazones.
Elle abaissa ses mains de manière à ce que ma tête soit à hauteur de sa chatte. Elle me tira alors vers elle jusqu’à ce que ma tête se trouve sous ses grandes lèvres. Elle tira alors vers le haut pour que ma bouche vienne en contact avec son sexe. Je sentis immédiatement son clitoris qui était durci par son excitation. Je n’avais même pas d’effort à faire, les coups de boutoir de Catherine sur mon arrière train suffisait à faire aller et venir mes lèvres et ma langue sur le sexe d’Ingrid qui mouillait abondamment. Mon visage et mon buste qui était déjà maculé du sperme de Catherine commençait à être un peu plus recouvert de jus de la géante blonde. J’avais totalement perdu la notion du temps. Ma prostate hyper stimulé par l’énorme vérin de la jeune brute m’avait déjà fait jouir 3 fois. Ingrid gémissait de plaisir tout dégoulinant un peu plus sur mon visage.
Elle jouit d’un coup et un flot supplémentaire de jus déborda de ma bouche, j’étais au bord de la noyade. Catherine jouit quasiment en même temps à nouveau. Je sentis son sperme chaud couler en moi, et jaillir sous la pression par les failles de mon anus. Si Ingrid ne m’avait pas tenu, je crois que j’aurais pu être expulsé contre le mur par la lance de pompier de Catherine. Ingrid me lâcha et je me retrouvai donc cambré contre le pubis d’Ingrid qui était toujours à l’intérieur de moi et qui me maintenait par les fesses. Stéphanie vint m’aider. Elle me saisit sous les aisselles par derrière et me souleva ainsi. Elle me leva aussi haut que nécessaire pour me dés-empaler du pieux de Catherine. Il y eut même comme un bruit de ventouse quand l’énorme gland se retira de mon anus. Stéphanie, me portant à bout de bras, posa mon corps totalement recouvert des fluides des deux ogresses sur un des canapés, où je m’évanouis. Je vis juste à travers mes yeux mi clos le regard B e s t i a l de Catherine dont Ingrid caressait le sexe avec ses grandes mains.
Cette brute avait littéralement créé un vide en moi, comme si son énorme chibre avait forgé un vagin dans mon corps. Je sentais les battements de mon coeur dans mon anus dilaté et meurtri. Je me demandais même si elle ne m’avait mis enceinte... Je vis alors Stéphanie s’approcher de moi avec une couverture dans ses mains et la poser sur mon petit corps humide pour que je n’ai pas froid. Me pelotonnant dans l’étoffe, je m’endormis dans les secondes qui suivirent.
Un peu de tendresse
Stéphanie me réveilla en posant la main sur mon épaule. Je sentais une douce chaleur émaner de sa battoir. J’ouvris les yeux doucement pour admirer le visage souriant de l’amazone qui m’avait donné en pâture à ces deux furies. Elle me dit:”Il va falloir te mettre propre pour aller te coucher, il est bientôt 11H. Je vais m’occuper de toi”. Elle enleva la couverture de mon corps et entreprit de me déshabiller. Me manipulant comme une poupée, j’eus vite fait de me retrouver totalement nu. Elle me saisit alors sous les aisselles et me souleva. J’aurais dû y être habitué mais sa f o r c e m’étonnait toujours. Elle me garda à bonne distance de son buste pour ne pas se tacher avec le jus que les deux valkyries avaient déversé sur moi. Elle m’emmena donc à bout de bras de bras jusqu’à la salle de bain où je me vis dans le miroir. Mon maquillage avait coulé et mon anus n’avait pas repris sa forme normale. Je ressemblais à une poupée mince et sans défense qu’une jeune amazone manipulait avec facilité. Stéphanie me dit alors: “Mais tu as peut être envie d’aller aux toilettes ?”.
Elle me posa alors par terre pour me saisir de dos en passant ses mains sous chacun de mes genoux. Mon dos s’appuyait donc sur sa poitrine douce et généreuse, et écartant mes jambes dont les pieds pendaient à 30 cm du sol, elle me positionna sur le WC. Elle me dit alors:”vas y ma puce, c’est le moment”. Je me mis alors à uriner comme un e n f a n t qui n’aurait pas su faire cela seul. Me sentir aussi faible et sans défense dans ses gros bras, me donna immédiatement une érection, ce qui fit rire Stéphanie :”Attention, tu vas te pisser dans l’oeil mon petit”. Une fois ma commission terminée, Stéphanie me souleva pour me poser les fesses dans le bain qu’elle m’avait fait couler. L’eau était juste à la bonne température. S’agenouillant devant la baignoire, elle me lava à l’aide d’une éponge, n’oubliant aucune partie de mon corps, insistant sur mon sexe avec un plaisir non feint.
De l’eau avait giclé sur son T-shirt et l’avait rendu transparent, laissant apparaître ses énormes tétons qui pointaient. Voyant que mon regard s’était posé sur eux, Stéphanie me dit :””Et bien s’ils te plaisent tant que ça, je vais les libérer”. Elle enleva son débardeur d’un mouvement puissant. J’en profitais pour admirer les muscles énormes de ses épaules et de ses bras qui roulaient sous sa peau. Je regardais ensuite les deux masses libérés de leur carcan de coton. Stéphanie saisit mes petites mains et les posa sur ses seins pour que je les caresse, ce que je fis avec grand plaisir. Je jouais avec ces masses lourdes et fermes. Je caressais ses tétons que mes petites mains n’arrivaient pas couvrir. Stéphanie gémissait de plaisir. Je jouis sans même m’en rendre compte tellement j’étais excité. Stéphanie me nettoya donc à nouveau le sexe. Une fois ma toilette finie, Stéphanie me saisi à nouveau sous les aisselles pour me soulever et me poser sur la table à langer.
Elle me sécha si vigoureusement que j’ai cru que mes os n’allaient pas résister. Comme elle était toujours seins nus, elle en profita pour me coller la tête sur ses tétons et me f o r c e r à les lécher. Ils étaient doux et sucrés, mais si étendus que ma bouche ne pouvait les absorber en entier. Je faisais courir ma langue sur leur large bout. J’étais aux anges. Stéphanie passa alors une main sous mes genoux et l’autre sous mon dos pour me soulever et me serrer contre elle. Elle me berça alors tendrement tout en comprimant mon corps chétif contre ses gros seins. J’étais si bien. Elle m’emmena ensuite dans le lit où elle me posa délicatement. Elle enleva tous ses vêtements et s’allongea contre moi. Je sentais son grand corps, doux, chaud et musclé contre mon dos. Une de ses mains se posa sur mon entrejambe. Nous sous endormîmes ainsi. Je me sentais tellement bien dans les bras de cette géante que je sombrais dans le monde des rêves avec facilité, malgré la soirée éprouvante que je venais de subir.
Un réveil torride
Le réveil sonna et nous nous réveillâmes sans avoir changé de position. J’étais toujours fermement calé contre les gros seins de Stéphanie pendant que sa large main couvrait presque tout mon bassin. Comme à chaque réveil, je bandais comme un fou. La douce sensation de ses gros tétons dans mon dos, ainsi que sa main sur mon sexe n’ajoutais qu’à mon excitation matinale. Stéphanie sentit mon petit sexe se dresser sous sa main et me dit alors :”Je vois que l’on est en forme à nouveau, mais je dois vérifier quelque chose avant...”. De son autre main, elle explora la raie de mes fesses pour tâter mon anus. Je ne m’attendais pas à ça et un frisson me parcourut le dos. Stéphanie me rassura:”Ne t'inquiète pas ma chéri, c’est juste pour vérifier. On dirait que tout est rentré dans l’ordre”.
Elle s’assit alors sur le bord du lit pour ouvrir le tiroir de table de nuit et en sortit un préservatif. Elle ouvrit le sachet et entreprit de poser la protection de latex sur mon sexe du bout de ses gros doigts à coté desquels mon pénis même en pleine érection semblait minuscule . Elle avait choisi un modèle de petite taille et il m’allait très bien. Stéphanie s’assit alors à califourchon sur moi et laissa son vagin avaler ma petite bite. Je voyais mon corps tout fin au milieux de ses grosses et puissantes cuisses. Elle commença à s’agiter sur moi. Ses seins se balançaient majestueusement.
Elle saisit mes avant bras dans ses grandes paluches et me f o r ç a à mettre mes mains sur ses tétons, que je caressai avec désir. Alors que des vagues de plaisir commençaient à envahir son bas ventre, elle saisit ma petit tête dans ses mains de géante et la coinça entre ses deux énormes melons. Je devins aveugle et sourd, emprisonné entre ses mamelles gigantesques. Je disposais juste d’un filet d’air pour ne pas m'étouffer. Stéphanie accéléra la cadence grisée par le plaisir. Tout mon petit corps allait et venait au rythme qu’imprimait les muscles puissants de son bassin. Mes bras tentaient vainement d'enserrer cette cage thoracique large et puissante.
Nous jouirent ensemble. Je sentis dans la vibration de son corps immense toute la puissance de cette montagne de muscle. Mon corps n’avait qu’à subir. Piloté par le plaisir intense, ses mains comprimaient si fort mon crâne entre ses seins fermes que cette fois je n’avais plus d’air. Je n’eus mon salut qu’à son désir frénétique de boire ma semence. Relâchant mon buste qui s’écrasa sur le lit, elle me libéra de la prison constituée par ses larges cuisses pour me retirer délicatement le préservatif qu’elle s’empressa de vider dans sa bouche. Elle se délecta alors du liquide visqueux et chaud. A genoux sur le lit et pas encore rassasiée, elle saisit par derrière mes cuisses d’araignée dans ses mains démesurées, et me souleva ainsi pour porter mes parties génitales dans sa bouche.
Je me retrouvais alors la tête en bas pendant que la géante avide de ma substance léchait consciencieusement mon pénis de sa grosse langue musclée. Ses bras agitaient mon corps léger au gré de ses envies comme si je ne pesais rien. Quand plus une seule goutte de mon sperme ne lui avait échappé, elle râla de plaisir, tout en levant au dessus de sa tête ses mains qui me tenaient encore fermement. Ma bouche se trouva alors au niveau de son opulente poitrine que je ne pus m’empêcher de sucer et de pétrir à nouveau. Stéphanie prit alors conscience que nous allions être en retard à la fac et décida de m’emmener la tête en bas à la salle de bain où elle me posa délicatement sur la table à langer. Nous primes à nouveau notre douche ensemble et nous nous lavèrent réciproquement. Je ne me lassai pas de laisser courir mes petites mains sur son corps à la fois si puissant et si féminin.
Elle ne semblait pas se lasser non plus de saisir mes membre fins et ma taille de guêpe dans ses grosses mains. Une fois rincé, elle me souleva en saisissant tout mon bassin pour me poser à nouveau sur la table à langer et me sécher. Une fois sec, elle me posa sur sa hanche pour m’emmener à la chambre où se trouvait mes vêtements.
Humilié jusqu’au bout
Arrivés dans la chambre de ses parents, elle me posa au sol et m’ordonna de m’habiller rapidement. Elle alla dans sa chambre pour se préparer également. Je m’habillai aussi vite que possible et allai attendre Stéphanie dans le hall d’entrée. Elle vint rapidement, vêtue d’une façon ultra féminine. Elle portait un chemisier très décolleté qui mettait encore plus en valeur sa large poitrine. Il était suffisamment transparent pour que l’on puisse voir la dentelle blanche de son sous soutien gorge. Une idée me traversa la tête :Mes fesses auraient pu tenir largement dans chacun des bonnets.
J’aurais pu m’en faire une balançoire. Elle avait mis une robe qui lui arrivait à mi-cuisse. J’admirai à nouveau ses quadriceps puissants et ses mollets énormes. Stéphanie me sortit de ma rêverie : “Je sais que mon corps d’amazone te fascine, mais il va falloir y aller si on ne veut pas rater le bus !” Sur ce, elle ouvrit la porte, et nous partîmes vers l’arrêt qui se trouvait à environ 500m. Stéphanie marchait vite et j’avais du mal à la suivre. Je trottais derrière elle. A mi chemin, nous entendîmes le bus arrivé au loin. Stéphanie, voyant bien que je n’arrivais pas à suivre que j’étais essoufflé se tourna vers moi. Elle s’inclina pour mettre son épaule contre mon ventre. Plaçant une main sous mes fesses, elle me souleva ainsi pour me porter jusqu’à l’arrêt. Elle se mit alors à courir comme si elle ne portait rien ! Je pouvais voir ses fesses bouger et ses mollets sur-puissants rouler sous sa peau. Cette fille était vraiment une f o r c e de la nature. Elle arriva à l’arrêt, toujours en me portant sur son épaule, en même temps que le bus. La chauffeur ouvrit la porte et Stéphanie s’y engouffra. Tout le monde nous regardait.
Ce n’était pas courant de voir une amazone porter avec facilité un homme pour monter dans un bus. Elle me posa délicatement sur un siège coté fenêtre en mettant une main sous mes genoux et l’autre dans mon dos. Elle s’assit alors à coté de moi. J’étais rouge de honte mais terriblement excité aussi ! Les gens chuchotaient et se demandaient qui était ce couple aussi dépareillé. Arrivés à notre arrêt, Stéphanie se leva et sans que j’ai eu le temps de réagir, elle me saisit sous les aisselles et me posa sur sa hanche. Nous descendîmes ainsi sous les yeux des autres passagers, ébahis par la f o r c e de ma maîtresse. Un fois en dehors du bus, elle me posa par terre et m’embrassa sur le front. Nous n’avions pas les mêmes cours ce matin là et elle devait me laisser. Elle me dit: “Soit sage mon petit cul, sinon, tu sais ce que je peux te faire...!” Je déglutis. Elle se tourna et s’éloigna. Je regardai hébété sa grande et musculeuse silhouette s’éloigner. Jamais je ne m’étais senti aussi petit et faible, mais finalement, je ne m’étais jamais senti aussi bien.
Elle m’avait filmé !
J’avais été incapable de me concentrer sur quoi que ce soit ce jour là. Les images de la journée de la veille me revenait sans cesse en mémoire. Je rentrai chez mes parents tout aussi désorienté. Il fallait que je dorme pour y voir plus clair. Arrivé chez moi, ma mère m’accueillit en me disant: “J’ai eu la maman de Stéphanie au téléphone, elle m’a dit que vous vous étiez bien amusés avec ses amis. Elles doivent partir avec leur équipe le week-end prochain. Elles voudraient que tu les accompagne”. Je frémis en entendant ces mots. Le traitement infligé par ces 3 brutes avait déjà été lourd à supporter, je ne savais pas si j’allais survivre à celui de toutes l’équipe. Je souris et dis à ma mère que j’allais y réfléchir. J’allai ensuite dans ma chambre pour me reposer et consulter mes mails. J’en avais un seul et qui venait de Stéphanie.
Il était intitulé “Tu as été parfaite ma petite pute”. Une énorme pièce jointe y était attachée et je l’ouvris immédiatement. C’était une vidéo ! Du moment où Stéphanie m’avait laissé à la merci de Catherine, elle avait tout filmé. Je me voyais empalé sur le pieux de cette brute entrain de gémir de plaisir. Elle agitait mon corps de haut en bas comme si j’étais une simple poupée gonflable. Je paraissais si petit dans les bras de cette grosse brute ! Zoomant sur mon anus, je vis son énorme vérin aller et venir dans ma petit rondelle. Ses grosses mains pétrissaient mes délicates petites fesses. La géante Ingrid apparut alors dans le champ. Elle était vraiment immense. Je la vis saisir le haut de mes bras qui disparurent dans ses mains plus que larges.
Ma tête également n’était plus visible une fois entre ses cuisses. Mon corps secoué par Catherine bougeait au rythme des puissants coups de reins de cette brute. Mon petit sexe dressé crachait régulièrement. Quand Catherine éjacula en moi, Stéphanie se focalisa à nouveau su mon anus dont jaillit une quantité impressionnante de sperme sous pression. La vidéo s’arrêtait là. J’étais sous le choc. Je compris immédiatement qu’il valait mieux que j’accompagne cette équipe d’amazone, comme l’avait suggéré Stéphanie, si je ne voulais pas que cette vidéo soit diffusée. Ma mère entra alors dans la chambre en me demandant :” Je ne trouve pas ton maillot de bain. Tu l’as laissé chez Stéphanie ?”. Le souvenir de ce qui était arrivé à ce pauvre slip de bain me rappela quel plaisir j’avais pris. J’étais finalement extrêmement excité de devenir pour un week-end la soumise et l’esclave de cette bande de valkyries...
Fin
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